prix des fruits et légumes en algérie
Sonprix grimpe jusqu’à 200 DA chez certains marchands aux abords des cités. Il s’agit de ce que rapporte Le Soir d’Algérie. Un marchand ambulant stipule au quotidien national que le prix de la tomate varie entre 100 et 120 DA ces derniers jours. Le coût diffère selon la qualité et les prix du marché de gros, dit-il. Les détaillants n’hésitent pas à imputer cette
Lespoir de voir les prix des légumes et fruits se stabiliser dans les marchés n’est pas pour bientôt. Si la marchandise existe en quantité ou même en qualité, quoique parfois moyenne, les prix actuels donnent encore des sueurs froides au client. Un passage en revue des prix pratiqués dans les supermarchés, puis ceux homologués et L’article Fruits, légumes,
Lesprix des légumes précités sont repartis à la hausse, comparativement à ceux pratiqués, il y a encore quelques jours. Pour ce qui est des prix des fruits, c'est le même constat. Le prix des oranges a atteint, hier, les 200 dinars, alors qu'elles étaient proposées à 120 et 140 dinars, il y a tout juste quelques jours. La viande
SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 Pastèque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaîne de valeur 7.3 Politiques
Lahausse des prix est repartie de plus belle. C’est une nouvelle opération à peine voilée au mépris du pouvoir d’achat des franges démunies de la société algérienne, loin de toucher un salaire décent, et qui sont littéralement touchées de plein fouet par la nouvelle hausse des prix des produits de première nécessité ainsi que
nonton missing the other side season 2 dramacute. Temps de lecture estimé 45 secondes Les marchés des fruits et légumes connaissent une flambée remarquable ces dernières semaines en Algérie. C’est ce qu’annonce l’APS après avoir constaté une envolée de produits tels que les oranges ou les pommes, entre autres. Cette augmentation serait due, selon un des commerçants approchés, à la mise-en-avant de produits hors-saison. Les fruits et légumes cultivés sous serre exigeant plus de moyens, ceux-ci voient leurs prix augmenter de 200% pour certains. Ainsi, les pommes locales peuvent atteindre 200 DA/kg, malgré une qualité moyenne. Les oranges 160 DA/kg ou bien les haricots verts 500 DA/kg. Demeurent certains produits tels que les artichauts, les fèves ou les carottes dont le prix n’a pas bougé. Une très mauvaise nouvelle pour un bon nombre de citoyens qui comptent principalement sur ces marchés pour remplir leurs stocks. Un marchand interrogé sur place par l’APS précise même que ces prix ne risquent pas encore de baisser. Rappelons que la période du Ramadan qui se profile, ne présage de surcroît, aucune amélioration à ce niveau. Related Tagsflambée des prix fruits & légumes algériefruits & légumes algérie
Devises Par - 17 avril 2021 à 2211 Warning Use of undefined constant gSendtofriend - assumed 'gSendtofriend' this will throw an Error in a future version of PHP in /home/linfoc74/public_html/wp-content/themes/info_theme/ on line 65 Désormais, vous pouvez nous suivre sur Google Actualités. N’hésitez pas à vous abonner en cliquant ici. Les prix des produits alimentaires notamment les fruits et légumes continuent de flamber dans les marchés en ce début du mois de ramadan. D’habitude, les prix commencent à baisser quelques jours après le début du mois sacré. Aujourd’hui, nous avons constaté une nouvelle augmentation du prix des pommes de terre dans certaines régions », écrit, ce samedi 17 avril, l’Association de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement Apoce. Selon elle, le kilo de pommes de terre était vendu entre 80 et 100 dinars ». Dans la soirée, l’association a posté une vidéo montrant les prix quelques fruits et légumes affichés, dans la journée, à Lakhdaria dans la wilaya de Bouira. Voici quelques exemples pommes de terre 75 dinars, petit-pois 150 dinars, tomates 160 dinars, haricot 450 dinars, haricot vert 350 dinars, aubergine 100 dinars, concombre 140 dinars, citron 250 dinars, fraise 350 dinars, pommes 650 dinars. Plus tôt, l’organisation avait publié les prix de quelques fruits et légumes au marché de gros de la même wilaya. Voici quelques exemples pommes de terre 65 dinars, oignon 50 dinars, tomates 140 dinars, courgettes 50 dinars, concombre 70 dinars, haricot vert 250 dinars, citron 200 dinars, bananes 150 dinars. Plus d'actualités
A un mois du mois du Ramadhan, les prix volent déjà très haut dans les marchés de Ghardaïa. Les viandes rouge et blanche, merguez, fruits et légumes; il suffit de faire un tour sur le marché pour constater que la trêve des prix attendue pour le mois de la Rahma » n’aura sans doute pas lieu cette année. Même si la courbe des prix diffère d’une marchandise à une autre, on souligne à l’unanimité commerçants et consommateurs que seul le prix de quelques produits locaux sont restés relativement stables avec une tendance à la baisse du prix et de la qualité avec, dans une fourchette allant par exemple, de 35 à 45 dinars pour les carottes, 50 à 60 dinars pour la salade et 25 à 30 dinars pour les oignons. Et ce, avec une tendance à la baisse du prix et de la qualité avec. Une autre légère consolation pour les clients, la tomate, qui, très demandée en pareille période, est cédée entre 50 et 60 dinars. Les autres fruits et légumes qui constituent le panier moyen du consommateur ont tous augmenté, même ceux dits de saison. Alors que le début du mois de Ramadhan est annoncé dans un petit mois juste, en matière de prix, pour les citoyens, c’est déjà les jours de préparation pour ce mois sacré, qui ne leur laissent aucun répit, surtout qu’en plus de l’obligation’ de manger, les habits des enfants, les factures d’eau et d’électricité laminent leur portefeuille de manière définitive. Il faut dire que de nombreux pères de famille se retrouvent endettés à la fin de chaque mois pour pouvoir répondre à toutes les exigences des leurs. Pour revenir aux viandes, fruits et légumes, en ce premier jour de Chaabane », connait depuis une augmentation sensible de leurs prix, tout particulièrement pour la pomme de terre qui voit son prix rebondir passant de 35 à 60 dinars le kilo, parfois à 65 DA mais sans jamais dépasser ce seuil. La courgette est arrivée à 80 DA, le poivron coûte, quand même, près de 90 DA, les haricots verts dépassent allègrement les 200 DA. Pour les fruits, les prix ont augmenté de manière plus significative, sauf peut-être pour les oranges. Les pommes elles sont cédées entre 220 à 280 DA le kilo, les bananes sont à 370 DA, les fraises sont livrées à 300 DA. Pour les viandes, le prix du poulet de son coté et devenu le sujet de discussion le plus passionné des pères de famille et des ménagères depuis que son prix est passé ces derniers jours à 270 DA le kilo. C’est la même tendance pour la dinde dont les prix sont compris entre 270 à 280 DA. Les viandes rouges, déjà trop chères depuis belles lurettes, n’ont pas bougé d’un iota, à DA pour la brebis, 1400 Da pour l’agneau, 900 DA pour le bovin et tenez-vous bien, 980 Da le kilo, pour les Merguez. Cette hausse des prix est semble-t-il, expliquée tout simplement par certains du fait de l’augmentation de la demande de la part des citoyens à l’approche du ramadhan. Mais beaucoup de clients, rencontrés au marché, Rue Cheikh El-Haoues », ne semblent pas très convaincus» par cette explication. Les prix sont moins élevés dans d’autres marchés des wilayas avoisinantes, comme ceux de Laghouat ou de Djelfa, alors, je ne crois pas que c’est une affaire de la demande », a exhibé Si Mohamed, un retraité père de Six enfants. Ce à quoi un commerçant curieusement, rétorquait avec ricanement les prix actuels sont liés à l’approche du ramadhan ». Nous voulons dores et déjà faire accoutumer nos clients à l’augmentation des prix. Ajouta-t-il, tout distrait. Cependant, lorsque le présumé coupable, le spéculateur en l’occurrence, est rarement identifié ni contrôlé par les services de la direction du commerce, certains commerçants continueront toujours à jouer au chat et à la souris.
Les prix des fruits et légumes continuent d’augmenter sur les marchés de gros et de détails de différentes régions du pays. Les consommateurs ont été désagréablement surpris ces derniers jours, par une nouvelle hausse des prix de l’ensemble des fruits et légumes. Une flambée qui laisse penser que la situation s’aggravera davantage à l’approche du mois de Ramadhan. A titre d’exemple, la pomme de terre est proposée entre 100 et 120 DA le Kg soit une hausse de 10 DA en l’espèce d’une semaine. Pour la tomate, ses prix tournent autour de 130 et 140 DA le kg, soit une hausse de 20 DA en semaine. La hausse a touché également l’union et les carottes dont le prix a atteint les 70 DA le Kg. L’ail a de son côté enregistré un nouveau record. En effet, ce produit indispensable au mois du Ramadhan, est affiché à plus de 1150 DA le Kg.
Les consommateurs algériens font face à une inquiétante envolée des prix depuis le début du mois de juin dernier. Ces augmentations de prix ont été confirmées officiellement par l’Office National des Statistiques ONS, un organisme gouvernemental algérien chargé de la collecte des données retraçant l’évolution socio-économique du pays. Certains produits agricoles ont augmenté de 30 % jusqu’à 60 % entre mai et juin 2022. Ce qui n’a pas manqué de produire un effet désastreux sur le portefeuille des Algériennes et Algériens. Les prix des produits agricoles frais enregistrent une augmentation de 1,4%. En dehors de la pomme de terre et des poissons qui inscrivent des baisses respectives de 10,6% et 12,2%, le reste des produits contribue largement à cette tendance. En effet, des hausses importantes définissent notamment, les légumes +6,5%, la viande de poulet +6,9% et à un degré moindre, la viande rouge +2,4% et les fruits +2,3% », fait remarquer à ce propos le dernier indice des prix à la consommation IPC qui est l’instrument de mesure de l’inflation. Il permet d’estimer, entre deux périodes données, la variation moyenne des prix des produits consommés par les ménages. Il est basé sur l’observation d’un panier fixe de biens et services, actualisé chaque mois, chaque trimestre et chaque s’avère que certains fruits et légumes ont connu des augmentations de prix qui dépassent les 60 % en un seul mois. C’est le cas, par exemple, de l’ail dont les prix ont augmenté de plus de 61,2 % entre mai et juin 2022. Les prix de la salade laitue ont augmenté également de plus de 36,7 % durant la même période. Quant au citron, ses prix ont subi sur les marchés nationaux et locaux une variation de plus de 33,4 % alors que l’orange a vu ses prix s’accroitre de plus de 12,3 %. Le piment a subi aussi une augmentation des prix évaluée à 7 % entre mai et juin 2022. La quasi-majorité des autres légumes et fruits largement consommés par les Algériennes et Algériens ont subi en moyenne une évolution des prix à la consommation évaluée entre 2 et 5 %, peut-on constater à la lecture des données recueillies par le dernier IPC de l’ augmentations des prix reflètent l’aggravation des tendances de l’inflation en Algérie. Une inflation qui semble galopante et que rien n’arrête encore puisque plusieurs remontées depuis les marchés nationaux indiquent la poursuite de cette hausse vertigineuse des prix. La cherté excessive de la vie s’installe dans la durée en Algérie et devient un fléau ravageur pour des pans entiers de la population algérienne.
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