poeme pour un ange parti trop tôt

Poemeecrit par moi pour un ange partit trop tot Depuis que tu nous a quitté J'ai vraiment changer Je reflechis a des choses que jamais Auparavant je n'avais penser Lorsque s de vie mènent à toi Discours pour l'enterrement d'une mama. 31 octobre 2012 à 12h34. parti-trop-tot-jeune-simplement-ciel-larme-echappe-mémoire. Ma Liberté Moustaki Paroles Et Musique, box-shadow: none !important; MyMemory is the world's largest Translation Memory. #rs-demo-id {} Luize Darzniece, Article de fdennequin. , Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Ainsi Unange parti trop tôt. 331 likes. Pour toi qui est parti trop tôt. Un rayon de soleil. Rappelez vous de ces bons moments et tout ce qu'elle dégageait Pour toi qui est parti trop tôt. Un rayon de soleil. Madyson ma princesse, mon petit ange parti trop tôt Tu seras pour toujours dans nos coeurs ma belle, on t'aime tous trés fort, sache le! ♥ belhommage pour un petit ange parti trop tôt ! louann : Ajouter un Commentaire. Vous devez etre identifié pour pouvoir poster un message Veuillez vous identifier en utilisant le formulaire ci-dessous, ou en creant un compte: S'identifier; Login : Password : Apparaitre dans la liste des connectés : Mot de passe perdu ? S'identifier. Login: Password: Etre visible : Mot de passe nonton missing the other side season 2 dramacute. Qu'est-ce que l'amour ? L'échange de deux fantaisies Et le contact de deux épidermes Chamfort I Eh bien ! en vérité, les sots auront beau dire, Quand on n'a pas d'argent, c'est amusant d'écrire. Si c'est un passe-temps pour se désennuyer, Il vaut bien la bouillotte ; et, si c'est un métier, Peut-être qu'après tout ce n'en est pas un pire Que fille entretenue, avocat ou portier II J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-être un blasphème, et je le dis tout bas Mais je l'aime à la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas. III Eh bien ! Sachez-le donc, vous qui voulez sans cesse Mettre votre scalpel dans un couteau de bois Vous qui cherchez l'auteur à de certains endroits, Comme un amant heureux cherche, dans son ivresse Sur un billet d'amour les pleurs de sa maîtresse, Et rêve, en le lisant, au doux son de sa voix. IV Sachez-le, — c'est le cœur qui parle et qui soupire Lorsque la main écrit, — c'est le cœur qui se fond ; C'est le cœur qui s'étend, se découvre et respire Comme un gai pèlerin sur le sommet d'un mont Et puissiez-vous trouver, quand vous en voudrez rire À dépecer nos vers le plaisir qu'ils nous font ! V Qu'importe leur valeur ? La muse est toujours belle, Même pour l'insensé, même pour l'impuissant ; Car sa beauté pour nous, c'est notre amour pour elle. Mordez et croassez, corbeaux, battez de l'aile ; Le poète est au ciel, et lorsqu'en vous poussant Il vous y fait monter, c'est qu'il en redescend VI Allez, — exercez-vous, — débrouillez la quenouille, Essoufflez-vous à faire un bœuf d'une grenouille Avant de lire un livre, et de dire J'y crois ! Analysez la plaie, et fourrez-y les doigts ; Il faudra de tout temps que l'incrédule y fouille, Pour savoir si son Christ est monté sur la croix VII Eh, depuis quand un livre est-il donc autre chose Que le rêve d'un jour qu'on raconte un instant ; Un Oiseau qui gazouille et s'envole ; — une rose Qu'on respire et qu'on jette, et qui meurt en tombant ; — Un ami qu'on aborde, avec lequel on cause, Moitié lui répondant, et moitié l'écoutant ? VIII Aujourd'hui' par exemple, il plait à ma cervelle De rimer en sixains le conte que voici, Va-t-on le maltraiter et lui chercher querelle ? Est-ce sa faute, à lui, si je l'écris ainsi ? Byron, me direz-vous, m'a servi de modèle. Vous ne savez donc pas qu'il imitait Pulci ? IX Lisez les Italiens, vous verrez s'il les vole. Rien n'appartient à rien, tout appartient à tous. Il faut être ignorant comme un maître d'école Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux. X Ah ! pauvre Laforêt, qui ne savais pas lire, Quels vigoureux soufflets ton nom seul a donnés Au peuple travailleur des discuteurs damnés ! Molière t'écoutait lorsqu'il venait d'écrire Quel mépris des humains dans le simple et gros rire Dont tu lui baptisais ses hardis nouveau-nés ! XI Il ne te lisait pas, dit-on, les vers d'Alceste ; Si je les avais faits, je te les aurais lus. L'esprit et les bons mots auraient été perdus ; Mais les meilleurs accords de l'instrument céleste Seraient allés au cœur comme ils en sont venus. J'aurais dit aux bavards du siècle A vous le reste XII Pourquoi donc les amants veillent-ils nuit et jour ? Pourquoi donc le poète aime-t-il sa souffrance ? Que demandent-ils donc tous les deux en retour ? Une larme, ô mon Dieu, voilà leur récompense ; Voilà pour eux le ciel ; la gloire et l'éloquence, Et par là le génie est semblable à l'amour. XIII Mon premier chant est fait. — Je viens de le relire. J'ai bien mal expliqué ce que je voulais dire ; Je n'ai pas dit un mot de ce que j'aurais dit Si j'avais fait un plan une heure avant d'écrire ; Je crève de dégoût, de rage et de dépit Je crois en vérité que j'ai fait de l'esprit XIV Deux sortes de roués existent sur la terre L'an, beau comme Satan, froid comme la vipère, Hautain, audacieux, plein d'imitation, Ne laissant palpiter sur son cœur solitaire Que l'écorce d'un homme et de la passion ; Faisant un manteau d'or à son ambition ; XV Corrompant sans plaisir, amoureux de lui-même, Et, pour s'aimer toujours, voulant toujours qu'on l'aime ; Regardant au soleil son ombre se mouvoir ; Dès qu'une source est pure, et que l'on peut s'y voir, Venant comme Narcisse y pencher son front blême, Et chercher la douleur pour s'en faire un miroir. XVI Son idéal, c'est lui -Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, Il se regarde vivre, et s'écoute parler. Car il faut que demain on dise, quand il passe Cet homme que voilà, c'est Robert Lovelace Autour de ce mot-là le monde peut rouler ; Il est l'axe du monde, et lui permet d'aller. XV Avec lui ni procès, ni crainte, ni scandale. Il jette un drap mouillé sur son père qui râle ; Il rôde, en chuchotant, sur la pointe du pied. Un amant plus sincère, à la main plus loyale, Peut serrer une main trop fort, et l'effrayer ; Mais lui, n'ayez pas peur de lui, c'est son métier. XVIII Qui pourrait se vanter d'avoir surpris son âme ? L'étude de sa vie est d'en cacher le fond... On en parle, — on en pleure, — on en rit, qu'en voit on Quelques duels oubliés, quelques soupirs de femme, Quelque joyau de prix sur une épaule infâme, Quelque croix de bois noir sur un tombeau sans nom. XIX Mais comme tout se tait dès qu'il vient à paraître ! Clarisse l'aperçoit, et commence à souffrir. Comme il est beau ! brillants comme il s'annonce en maître ! Si Clarisse s'indigne et tarde à consentir, Il dira qu'il se tue-il se tuera peut-être ; — Mais Clarisse aime mieux le sauver, et mourir. XX C'est le roué sans cœur, le spectre à double face, A la patte de tigre, aux serres de vautour, Le roué sérieux qui n'eut jamais d'amour ; Méprisant la douleur comme la populace ; Disant au genre humain de lui laisser son jour- Et qui serait César, s'il n'était Lovelace XXI Ne lui demandez pas s'il est heureux ou non ; Il n'en sait rien lui-même, il est ce qu'il doit être. Il meurt silencieux, tel que Dieu l'a fait naître L'antilope aux yeux bleus est plus tendre peut-être Que le roi des forêts ; mais le lion répond Qu'il n'est pas antilope, et qu'il a nom lion. XXII Voilà l'homme d'un siècle, et l'étoile polaire Sur qui les écoliers fixent leurs yeux ardents, L'homme dont Robertson fera le commentaire, Qui donnera sa vie à lire à nos enfants Ses crimes noirciront un large bréviaire, Qui brûlera les mains et les cœurs de vingt ans. XXIII Quant au roué Français, au don Juan ordinaire, Ivre, riche, joyeux, raillant l'homme de pierre, Ne demandant partout qu'à trouver le vin bon, Bernant monsieur Dimanche, et disant à son père Qu'il serait mieux assis pour lui faire un sermon, C'est l'ombre d'un roué qui ne vaut pas Valmont. XXIV Il en est un plus grand, plus beau, plus poétique, Que personne n'a fait, que Mozart a rêvé, Qu'Hoffmann a vu passer, au son de la musique, Sous un éclair divin de sa nuit fantastique, Admirable portrait qu'il n'a point achevé, Et que de notre temps Shakspeare aurait trouvé. XXV Un jeune homme est assis au bord d'une prairie, Pensif comme l'amour, beau comme le génie ; Sa maîtresse enivrée est prête à s'endormir. Il vient d'avoir vingt ans, son cœur vient de s'ouvrir. Rameau tremblant encor de l'arbre de la vie, Tombé, comme le Christ, pour aimer et souffrir XXVI Le voilà se noyant dans des larmes de femme, Devant cette nature aussi belle que lui ; Pressant le monde entier sur son cœur qui se pâme, Faible, et, comme le lierre, ayant besoin d'autrui ; Et ne le cachant pas, et suspendant son âme, Comme un luth éolien, aux lèvres de la Nuit. XXVII Le voilà demandant pourquoi son cœur soupire, Jurant, les yeux en pleurs, qu'il ne désire rien ; Caressant sa maîtresse, et des sons de sa lyre Egayant son sommeil comme un ange gardien ; Tendant sa coupe d'or à ceux qu'il voit sourire, Voulant voir leur bonheur pour y chercher le sien. XXVIII Le voilà, jeune et beau, sous le ciel de la France, Déjà riche à vingt ans comme un enfouisseur ; Portant sur la nature un cœur plein d'espérance, Aimant, aimé de tous, ouvert comme une fleur ; Si candide et si frais que l'ange d'innocence Baiserait sur son front la beauté de son cœur XXIX Le voilà, regardez, devinez-lui sa vie. Quel sort peut-on prédire à cet enfant du ciel ? L'amour en l'approchant jure d'être éternel ; Le hasard pense à lui, — la sainte poésie Retourne en souriant sa coupe d'ambroisie Sur ses cheveux plus doux et plus blonds que le miel. XXX Ce palais, c'est le sien ; — le serf et la campagne Sont à lui ; — la forêt, le fleuve et la montagne Ont retenu son nom en écoutant l'écho. C'est à lui le village, et le pâle troupeau Des moines. — Quand il passe et traverse un hameau, Le bon ange du lieu se lève et l'accompagne. XXXI Quatre filles de prince ont demandé sa main. Sachez que s'il voulait la reine pour maîtresse, Et trois palais de plus, il les aurait demain ! Qu'un juif deviendrait chauve à compter sa richesse, Et qu'il pourrait jeter, sans que rien en paraisse Les blés de ses moissons aux oiseaux du chemin. XXXII Eh bien ! cet homme-là vivra dans les tavernes Entre deux charbonniers autour d'un poêle assis ; La poudre noircira sa barbe et ses sourcils ; Vous le verrez un jour, tremblant et les yeux ternes Venir dans son manteau dormir sous les lanternes, La face ensanglantée et les coudes noircis. XXXIII Vous le verrez sauter sur l'échelle dorée, Pour courir dans un bouge au sortir d'un boudoir, Portant sa lèvre ardente à la prostituée, Avant qu'à son balcon done Elvire éplorée, Dans la profonde nuit croyant encor le voir, Ait cessé d'agiter sa lampe et son mouchoir. XXXIV Vous le verrez, laquais pour une chambrière, Cachant sous ses habits son valet grelottant ; Vous le verrez, tranquille et froid comme une pierre, Pousser dans les ruisseaux le cadavre d'un père, Et laisser le vieillard traîner ses mains de sang Sur des murs chauds encor du viol de son enfant. XXXV Que direz-vous alors ? Ah ! vous croirez peut-être Que le monde a blessé ce cœur vaste et hautain, Que c'est quelque Lara qui se sent méconnaître, Que l'homme a mal jugé, qui sait ce qu'il peut être, Et qui, s'apercevant qu'il le serait en vain, Rend haine contre haine et dédain pour dédain. XXXVI Eh bien ! vous vous trompez. — Jamais personne au monde N'a pensé moins que lui qu'il c'`ait oublié. Jamais il n'a frappé sans qu'on ne lui réponde ; Jamais il n'a senti l'inconstance de l'onde, Et jamais il n'a vu se dresser sous son pié Le vivace serpent de la fausse amitié. XXXVII Que dis-je ? tel qu'il est, le monde l'aime encore ; Il n'a perdu chez lui ni ses biens ni son rang. Devant Dieu, devant tous, il s'assoit à son banc. Ce qu'il a fait de mal, personne ne l'ignore ; On connaît son génie, on l'admire, on l'honore. — Seulement, voyez-vous, cet homme, c'est don Juan. XXXVIII Oui, don Juan. Le voilà, ce nom que tout répète, Ce nom mystérieux que tout l'univers prend, Dont chacun vient parler, et que nul ne comprend ; Si vaste et si puissant qu'il n'est pas de poète Qui ne l'ait soulevé dans son cœur et sa tête, Et pour l'avoir tenté ne soit resté plus grand. XXXIX Insensé que je suis ! que fais-je ici moi-même ? Était-ce donc mon tour de leur parler de toi, Grande ombre, et d'où viens-tu pour tomber jusqu'à moi ? C'est qu'avec leurs horreurs, leur doute et leur blasphème Pas un d'eux ne t'aimait, don Juan ; et moi, je t'aime Comme le vieux Blondel aimait son pauvre roi. XL Oh ! qui me jettera sur ton coursier rapide ! Oh ! qui me prêtera le manteau voyageur, Pour te suivre en pleurant, candide corrupteur ! Qui me déroulera cette liste homicide, Cette liste d'amour si remplie et si vide, Et que ta main peuplait des oublis de ton cœur ! XLI Trois mille noms charmants ! Trois mille noms de femme ! Pas un qu'avec des pleurs tu n'aies balbutié ! Et ce foyer d'amour qui dévorait ton âme, Qui lorsque tu mourus, de tes veines de flamme Remonta dans le ciel comme un ange oublié, De ces trois mille amours pas un qui l'ait noyé ! XLII Elles t'aimaient pourtant, ces filles insensées Que sur ton cœur de fer tu pressas tour à tour ; Le vent qui t'emportait les avait traversées ; Elles t'aimaient, don Juan, ces pauvres délaissées Qui couvraient de baisers l'ombre de ton amour, Qui te donnaient leur vie, et qui n'avaient qu'un jour ! XLIII Mais toi, spectre énervé, toi, que faisais-tu d'elles ? Ah ! massacre et malheur ! tu les aimais aussi, Toi ! croyant toujours voir sur tes amours nouvelles Se lever le soleil de tes nuits éternelles, Te disant chaque soir Peut-être le voici Et l'attendant toujours, et vieillissant ainsi ! XLIV Demandant aux forêts, à la mer, à la plaine, Aux brises du matin, à toute heure, à tout lieu, La femme de ton âme et de ton premier vœu ! Prenant pour fiancée un rêve, une ombre vaine, Et fouillant dans le cœur d'une hécatombe humaine, Prêtre désespéré, pour y chercher ton Dieu. XLV Et que voulais-tu donc ?-Voilà ce que le monde Au bout de trois cents ans demande encor tout bas Le sphinx aux yeux perçants attend qu'on lui réponde Ils savent compter l'heure, et que leur terre est ronde Ils marchent dans leur ciel sur le bout d'un compas' Mais ce que tu voulais, ils ne le savent pas. XLVI Quelle est donc, disent-ils,. cette femme inconnue, Qui seule eût mis la main au frein de son coursier ? Qu'il appelait toujours et qui n'est pas venue ? Où l'avait-il trouvée ? où l'avait-il perdue ? Et quel nœud si puissant avait su les lier, Que, n'ayant pu venir, il n'ait pu l'oublier ? XLVII N'en était-il pas une, ou plus noble, ou plus belle, Parmi tant de beautés, qui, de loin ou de près, De son vague idéal eût du moins quelques traits ? Que ne la gardait-il ! qu'on nous dise laquelle. Toutes lui ressemblaient, — ce n'était jamais elle, Toutes lui ressemblaient, don Juan, et tu marchais ! XLVIII Tu ne t'es pas lassé de parcourir la terre ! Ce vain fantôme, à qui Dieu t'avait envoyé, Tu n'en as pas brisé la forme sous ton pied ! Tu n'es pas remonté, comme l'aigle à son aire Sans avoir sa pâture, ou comme le tonnerre Dans sa nue aux flancs d'or, sans avoir foudroyé ! XLIX Tu n'as jamais médit de ce monde stupide Qui te dévisageait d'un regard hébété ; Tu l'as vu, tel qu'il est, dans sa difformité ; Et tu montais toujours cette montagne aride, Et tu suçais toujours, plus jeune et plus aride, Les mamelles d'airain de la Réalité. L Et la vierge aux yeux bleus, sur la souple ottomane, Dans ses bras parfumés te berçait mollement ; De la fille de roi jusqu'à la paysanne Tu ne méprisais rien, même la courtisane, À qui tu disputais son misérable amant ; Mineur, qui dans un puits cherchais un diamant. LI Tu parcourais Madrid, Paris, Naple et Florence ; Grand seigneur aux palais, voleur aux carrefours ; Ne comptant ni l'argent, ni les nuits, ni les jours ; Apprenant du passant à chanter sa romance ; Ne demandant à Dieu, pour aimer l'existence, Que ton large horizon et tes larges amours. LII Tu retrouvais partout la vérité hideuse, Jamais ce qu'ici-bas cherchaient tes vœux ardents, Partout l'hydre éternel qui te montrait les dents ; Et poursuivant toujours ta vie aventureuse, Regardant sous tes pieds cette mer orageuse, Tu te disais tout bas Ma perle est là dedans. LIII Tu mourus plein d'espoir dans ta route infinie, Et te souciant peu de laisser ici-bas Des larmes et du sang aux traces de tes pas. Plus vaste que le ciel et plus grand que la vie, Tu perdis ta beauté, ta gloire et ton génie Pour un être impossible, et qui n'existait pas. LIV Et le jour que parut le convive de pierre, Tu vins à sa rencontre, et lui tendis la main ; Tu tombas foudroyé sur ton dernier festin Symbole merveilleux de l'homme sur la terre, Cherchant de ta main gauche à soulever ton verre Abandonnant ta droite à celle du Destin ! LV Maintenant, c'est à toi, lecteur, de reconnaître Dans quel gouffre sans fond peut descendre ici-bas Le rêveur insensé qui voudrait d'un tel maître. Je ne dirai qu'un mot, et tu le comprendras Ce que don Juan aimait, Hassan l'aimait peut-être ; Ce que don Juan cherchait, Hassan n'y croyait - Chant deuxième Poèmes de Alfred de Musset Citations de Alfred de Musset Reads 3Votes 0Parts 1RomainLedoultOngoing, First published Mar 05, 2016All Rights ReservedTable of contentsLast updated Mar 05, 2016Pour un Ange parti trop tôtGet notified when Pour un Ange parti trop tôt is updated OR If you already have an account, By continuing, you agree to Wattpad's Terms of Service and Privacy un Ange parti trop tôtContent GuidelinesReport this storyYou may also like 3 parts Complete *Wattys 2018 Winner / Hidden Gems* CREATE YOUR OWN MR. RIGHT Weeks before Valentine's, seventeen... 85 parts Complete He was so close, his breath hit my lips. His eyes darted from my eyes to my lips. 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Happy End vous propose six textes à lire pour accompagner le deuil d’un bébé. Qu’ils vous servent de dernier hommage lors des obsèques, ou de soutien au quotidien, ils sauront peut être mettre des mots sur l’indescriptible peine que représente la perte d’un enfant, quel que soit son âge. Je pleure mon enfant qui est mort, extrait du n°116 du “Pierres Vivantes” “Je pleure mon enfant qui est mort… Mais en même temps, j’entends sa voix qui me dit avec une légère impatience “Maman, ne te tracasse pas pour moi, Maman, n’en reste pas là. Oui, mon départ t’a fait très mal ! Oui, tu as toujours mal ! Mais tu sais maintenant que c’était un envol et non un naufrage. Oui, je sais ! Cela est inguérissable… Mais que cela ne t’empêche pas de penser aux autres et aussi à toi. Continue à cueillir, maman, tous les bonheurs de la vie. Même les plus petits, même s’ils ont un arrière goût de cendre parfois. Fais-toi plaisir, chante, écoute de la musique, crée quelque chose avec tes mains, crée quelque chose avec ton cœur, avec ta tête ! Sans cesser de pleurer peut-être, mais crée ! Je te veux vivante, Maman ! Que mon départ devienne pour toi une source de vie ! Je t’en prie, ne t’abandonne pas ! Continue, va ! Tu le sais, je suis avec toi tous les jours. Je te veux vivante, Maman !” Pour un enfant né sans vie, Darl Meliza Riviera, maman de Darlizza, morte à 24 semaines “Notre petit ange, Née silencieuse dans ce monde. Ce n’était pas important, le moment où nous t’avons vue C’était un bonheur parfait. Toutes les questions, toutes les peines et les peurs, se sont volatilisées dans les ténèbres de la nuit ; pendant que je te serrais contre ma poitrine, chérissant cet instant. À minuit et demi, le prêtre est venu, pour te bénir et te baptiser au nom de Jésus-Christ. Nous ne savons peut-être pas exactement quand ton coeur s’est arrêté de battre pour la dernière fois. Notre enfant, sache que si l’amour avait pu te sauver, tu vivrais pour toujours. Maintenant, Dieu te portera dans ses bras comme nous te portons dans nos coeurs jusqu’à ce que nous te portions au paradis. Merci de m’avoir montré à quel point ton papa m’aime, à quel point notre famille et amis nous aiment. Merci de nous avoir montré, le pouvoir de l’amour de Dieu. Je pense que tu étais trop belle pour la Terre. Tu es née avec des ailes, tu étais destinée à voler. Ta place est au paradis. Tu es peut être mort-née mais tu étais quand même née.” La nuit n’est jamais complète, Paul Eluard “La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager.” Perte d’un bébé découvrez nos ressources sur la mort et le deuil “Tu seras un homme papa”, un podcast de Gaël Leiblang “Dans ces moments là”, un ouvrage de Hélène Gérin Chers Parents, Pascal Portier “Chers Parents Il est bien difficile de croire un seul instant Que l’on pourrait survivre à la mort d’un enfant Pour nous tous, chers Parents ce sentiment nous parle Il irrigue constamment, notre cœur plein de larmes Au delà de savoir, comment c’est arrivé ! Pourquoi ce grand voile noir, sur nous tous, est tombé Il y a ce quotidien qui souvent reste dur L’impression que plus rien ne guérira nos blessures Comment pouvoir y croire, sans jamais succomber Ne pas perdre l’espoir, savoir se relever ! Suivre ce long chemin que chacun arpente seul Croire à ce lendemain en lâchant le linceul. Pourtant les jours avancent, et les mois, les années… Nous donnent la cadence, permettent d’avancer Chaque heure est une victoire qu’on n’imaginait pas Lueur que l’on peut voir et dirige nos pas. Alors vous chers Parents qui êtes mes Amis, Permettez simplement que je vous nomme ainsi Nous sommes des compagnons sur une bien triste route Nos cœurs se regrouperont, ils seront à l’écoute. Je fais le vœu concret à l’aube de Noël Qu’en chacun une Paix, vous redonne des ailes Que vos chagrins s’estompent, l’espace d’un instant Que vous vous rendiez compte, comme votre cœur est grand. Vous pouvez être fiers de ce bien bel hommage Une forme de Prière qui donne du courage Que ces étoiles qui portent le nom de nos enfants Restent la plus belle escorte pour nous tous chers parents !” PublicitéPrecious Child, Karen Taylor Good “Dans mon cœur tu vis toujours Toujours ici, jamais parti Précieux enfant, trop tôt parti Bien qu’il doive être vrai que nous sommes séparés Dans mon cœur pour toujours tu vivras Dans l’ordre des choses, je devais partir la première Précieux enfant, précieux enfant Mais je reste ici pour porter ton deuil Précieux enfant, précieux enfant Dans mon âme est un vide Qui jamais ne sera comblé Dans mon cœur est l’espoir Et tu es toujours avec moi Dans mon cœur toujours tu vis Toujours ici, jamais parti Précieux enfant, trop tôt parti Bien qu’il doive être vrai que nous sommes séparés Dans mon cœur pour toujours tu vivras” À écouter ici Arriver à séparer la mémoire de la douleur, David Grossman “J’ai pensé à mon fils, Je lui ai parlé intérieurement. Nous nous sommes au moins quittés sans colère – Lui ai-je dit- Et sans rancœur. Tu nous as aimés, et tu étais aimé. Et tu savais Que tu l’étais. Je lui ai dit Puis-je te demander une faveur ? Je veux apprendre à séparer La mémoire De la douleur. Du moins en partie, Autant que possible, afin que tout le passé Ne sois pas à ce point imprégné de douleur. De la sorte, je pourrai aussi me souvenir de toi Davantage, Tu comprends je n’aurai plus à craindre chaque fois La brûlure du souvenir.” Perte d’un bébé découvrez nos guides pour vous aider Le deuil périnatal comment les parents sont accompagnés ? 7 idées de rituels pour vous aider à vivre votre deuil périnatal Deuil périnatal participer à une cérémonie collective Mort inattendue du nourrisson MIN le chemin à suivre Groupes de parole de deuil comment peuvent-ils vous aider ? Des associations spécialisées en deuil familial et en deuil périnatal peuvent également vous venir en aide. Retrouvez-les toutes dans notre annuaire de professionnels ! TOI … Quand tu étais petit, Avec tes boucles blondes, Avec te yeux rieurs, Avec ta bouche en cœur, Tu avais l’air d’un ange. Lorsque je t’ai connu, Les épreuves vécues Avaient forgé ton âme Et fait de toi un homme. Ton regard profond, Ton sourire charmeur, Et tes mains fermes et douces Faisaient fondre mon cœur. Quand, dans tes bras tu me prenais, Le monde cessait d’exister. Tu étais le donjon Où j’aimais me réfugier. Quand tes yeux me regardaient, Plongeant au fond de moi, Perçant tous mes secrets, Je cessais d’exister Pour n’être plus que toi. Quand avec toi je promenais, A ton bras fière, je pavanais. Tu étais mon bouclier, Tu étais mon chevalier, Et j’étais ta princesse Ivre de tes caresses. Quand près de toi je me couchais, Que mes cheveux tu caressais, Ta bouche me murmurait Des mots tendres et sucrés Qui savaient me bercer. Tu étais mon ami, Tu étais mon confident, Tu étais ma force, Mon ange Gabriel Terrassant le dragon, Toi, mon père Août 2015 Retour au recueil de poèmes

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